dimanche 15 janvier 2017

Bienvenue au salon du 15ème art.

Sylvie, gérante du salon le 15ème art, au bac, avec une habituée du salon. 
Au 15ème art, s'il y a un art qui compte autant qu'une bonne coupe ou une couleur réussie, c'est celui de l'accueil. Sylvie, la gérante du salon y est pour beaucoup. Sa bonhommie sans chichi n'a d'égale que la délicatesse de son cœur. À l'angle de l'avenue Emile Zola et de la rue de Tournus, la patronne du 15ème art mène son salon avec beaucoup d'énergie et d'humanité. Cette femme du Nord, originaire d'une famille modeste de Belgique, a monté son affaire à la force du poignet et un sens inné de l'hospitalité. Pousser la porte de son salon, c'est se sentir comme à la maison. Ni formule guindée d'accueil, ni réception maniérée, mais un franc bonjour suivi de son prénom ! 


Jennyfer, le bras droit de Sylvie, aussi flamboyante que sa chevelure.
Aussi extravertie que sa patronne est discrète, Jennyfer est à Sylvie ce que le soleil est à la lune. La jeune femme tient de sa mère, ancienne Claudette, sa silhouette élancée de danseuse et de ses îles d'origine, sa gaité indolente. Une boutade, un clin d'œil malicieux et la plus réservée des clientes se sent prête à toutes les audaces. Avec Jennyfer, renouveler son look est une volupté. Elle-même montre l'exemple en changeant de coiffure tous les quatre matins, testant de façon intrépide toute les couleurs du nuancier. "Car la première chose qu'un homme regarde chez une femme, c'est sa coiffure, pas ses pieds !"


Bac ou casque, séchoir ou rouleaux, les doigts de fée de Jennyfer font des miracles !
La couleur est réussie. Perfectionniste, Sylvie, fait briller chaque mèche.
Chaque semaine, Gaëlle vient se défriser par Jennifer, la bouclée.
Sa belle chevelure d'ébène lissée et domptée, Gaëlle est métamorphosée.

Pour Dora l'orientale, conserver sa féminité est la moindre des politesses.

"Miroir, suis-je belle?" Que l'on soit une vieille dame digne qui veut rester élégante, une jeune femme active soucieuse de son apparence ou une adolescente indécise en quête de son image, la réponse est toujours valorisante dans les miroirs du 15ème art. 
Le secret de ces métamorphoses ? Les gestes habiles et attentionnés d'un duo de coiffeuses passionnées. 

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